jueves, abril 16

Nappy

Sur les marches, on se promettait de se revoir l’été prochain. À Paris, qui sait ? Quelqu’un laissait un message sur un répondeur, trop tard. On tournait la clef. L’été s’achevait et j’avais la sensation physique, indubitable, que quelque chose se mourait en moi aussi. Quelque chose qui me rendait triste et vivant à la fois. Comme une joie trempée de larmes.

Au jourd'hui je ne suis pas in the mood. La premier fois desde que volví.

J'ai vérifié mon biorythme, et les prévisions pour demain et le jour suivant sont réservées.

Et je ne sais pas deuil en francais.

2 comentarios:

Mauro dijo...

¿Por qué a todos los "bloggers" nos gusta el francés? ¿Por qué pintas cuadros tan lindos? ¿Por qué no me vendes uno o mejor aún, me regalas uno para mi cumpleaños! ¿Por qué hoy estoy existencialista o como a los tres años? Me mude caro, a comas-acertijos.blogspot.com. Espero tener noticias de ti, un beso

Caro dijo...

Pero yo no soy blogger, eh?